Rando facile de 10kms environ, en 3h et 160m de dénivelé à peyrolles direction le loubatas, , parking près de poubelles sur la gauche, on suit la piste, on délaisse celle de droite qui sera celle du retour(chemin des ribes), plus loin le sentier bleu commence entre les 2 pistes..sentier du loubatas, iil mène à la carrière ste Anne, On peut encore y voir au sol, les traces creusées par les charrettes des carriers. Cette carrière fut exploitée jusqu’en 1930. Les pierres extraites servirent à la construction de la plupart des monuments peyrollais. Elle est encore utilisée lors de restauration...
Dans la carrière de Saint Anne en forme de cirque, on peut observer de hauts fronts de taille. Mais également un lieu d’habitation creusé dans la roche. Deux sections de l’aqueduc en forme de T s’ouvrent sur un tunnel désormais bouché. Un espace ouvert dans la roche donne accès à la forêt par un vieux chemin caladé. De là l’itinéraire s’oriente plein Sud jusqu’à la piste, nous la traversons, un tracé rouge longe la piste, il nous mène à la grande baumegrande baume, puis nous continuons jusqu’au
– loubatas (
Vers d’autres manières d’habiter la Terre !
Le Loubatas est une association d’éducation à l’environnement qui gère un écogîte de groupe, autonome en énergie en pleine forêt provençale. S’appuyant sur les principes du développement durable, le Loubatas s’adresse à tous les publics désireux d’expérimenter l’écologie au quotidien ou souhaitant passer un bon moment dans un lieu unique.
Grâce à notre capacité d’accueil de 35 lits et nos équipements professionnels, nous pouvons vous accueillir dans le cadre d’actions pédagogiques (animations, classe verte, formation, …) ou le week-end en gestion libre pour vos événements festifs, associatifs ou professionnels. Vous aurez aussi la possibilité de découvrir le lieu en profitant de notre sentier de découverte, de nos journées bénévoles ou lors de notre fête annuelle le dernier week-end de septembre.
Vous n’avez pas l’occasion de venir ? Rencontrez nous ailleurs ! Nous sommes présents lors de salons, foires ou événementiels. Découvrez nos activités à travers nos animations et sorties gratuites ou contactez-nous pour organiser un programme d’interventions éducatives dans votre établissement scolaire ou structure. Consultez notre agenda pour connaître nos actualités et sorties à venir !
– nous continuons la piste, ensuite à gauche, jusqu’au sentier qui monte à l’ ancien canal du verdon, (le Syphon de Trempasse) traverse une vallée de 132 m de largeur au niveau du plafond et de 27 m de profondeur au-dessous de ce niveau. Il est formé d’une galerie de 2.3 m de diamètre. Il a été creusé en souterrain dans le roc compact qui compose le lit du ravin à traverser. C’est un des ouvrages majeurs de l’Ancien Canal du Verdon. Ce canal qui depuis Quinson, apportait les eaux du Verdon jusqu’à Aix-en-Provence. Il traversait les massifs sur plus de 80 km en irrigant les terres agricoles. Il fut construit entre 1857 et 1875 par l’ingénieur Tournadre. C’est le premier grand ouvrage hydraulique dans le massif du Concors depuis les Romains. Avant lui, les Romains construisirent l’aqueduc de Traconnade qui acheminait les eaux de Jouques vers Aquae Sextiae, aujourd’hui Aix-en-Provence.
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A partir de la tour aval du Syphon de Trempasse, commence un itinéraire aménagé. C’est un aménagement de valorisation de l’ancien Canal du Verdon jusqu’au Camp Chinois. Les Syphons de Trempasse et du Loubatas font partie des 4 grands Syphons construits sur l’Ancien Canal du Verdon. Ils se trouvent tous les deux sur la commune de Peyrolles-en-Provence. Sur cette portion de l’Ancien Canal du Verdon, de nombreux ouvrages autres que les Syphons, ont été réalisés. Aqueducs, ponts et galeries ponctuent cet itinéraire aménagé. Les galeries étant interdites pour des raisons de sécurité sont une aubaine pour les chauves-souris. Plusieurs espèces sont présentes dans les galeries de l’Ancien Canal du Verdon, come le Petit murin ou l’Oreillard gris.
– camp chinois (En 1939, le gouvernement français fait venir 20 000 indochinois pour remplacer les travailleurs mobilisés, notamment, pour notre région, dans les poudreries de Saint Chamas et de Sorgues. Le camp chinois dans un vallon isolé près de Meyrargues, abritait certains de ces travailleurs (les baraquements ont maintenant disparu). A l’armistice, une partie de ces travailleurs ont été envoyés en Camargue pour y développer la culture du riz. Des conditions extrêmement difficiles... et ils réussirent !)
– c’est alors le retour par une piste jusqu’aux apiers, à droite, puis étant un peu pris par le temps, en consultant la carte IGN, nous prenons un sentier qui va grimper et redescendre vers le vallon du parking...
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